Livre Mon combat-valerie jean biographe

Mon combat

« Mon combat », un livre de Solange accompagné de Valerie Jean Biographe

Livre-valerie Jean Biographe-

Valérie Jean biographe a accompagné Solange dans l’écriture et la correction de son tapuscrit, par la restructuration de son texte, la correction orthographique et grammaticale et le chapitrage.

Solange, petite togolaise a grandi dans cette Afrique dure et merveilleuse à la fois. Fille de musulman, seule armée de ses convictions elle se convertit au christianisme qui lui apportera la paix malgré les nombreuses épreuves qu’elle aura encore à endurer

EXTRAITS de la biographie   « Mon combat »

Nous habitions à 500 m de la petite église du village. Elle était toute belle et différente des autres constructions. Nous passions souvent devant pour aller à l’école ou chercher de l’eau au puits qui avait été construit par les missionnaires catholiques. Le curé de la paroisse était français et j’étais très impressionnée de voir un blanc vivant avec nous à la campagne.

À chaque fois que je passais devant l’église, j’entendais des cris et des chants rythmés au son des tam-tams. Je me sentais attirée par l’église et j’étais très curieuse de savoir ce qui se passait réellement à l’intérieur, mais je n’osais pas car j’étais musulmane et je n’avais pas le droit de rentrer dans une église.

Les missionnaires s’engageaient beaucoup pour le village et étaient très respectés. Des religieuses vivaient également à proximité. En passant, je voyais toujours beaucoup d’enfants encadrés par des jeunes qui chantaient et jouaient dans la cour. Ils avaient l’air heureux et très épanouis. Je n’osais toujours pas les approcher. Je restais éloignée tout en les regardant avec fascination.

À la fin de l’année scolaire, à l’initiative des missionnaires, une kermesse grandiose fut organisée à l’école avec une série de jeux et de spectacles animés par le groupe que je voyais souvent chanter devant l’église. Tous les enfants de l’école avaient participé dont moi et mes petits frères. J’étais très heureuse d’être enfin dans ce groupe qui s’appelait CV-AV (Cœurs Vaillants – Âmes Vaillantes). J’appris qu’ils encadraient des ateliers tous les samedis après-midi à la paroisse et que tous les enfants étaient invités sans distinction de religion. Je demandai l’autorisation à mes parents d’y participer et ils acceptèrent. C’est ainsi que j’ai commencé à fréquenter la paroisse sans vraiment participer à la messe. J’avais enfin pu visiter l’église. Je voyais des décors religieux, mais ils étaient alors insignifiants pour moi car je ne savais pas ce qu’ils représentaient.

Je ne me posais pas plus de questions, j’étais surtout heureuse de chanter ces chansons et je les entonnais très souvent. J’assistai à ma première veillée de Pâques. Après la messe, un grand feu fut allumé et tout le monde était autour et chantait les chants de Pâques. Ce soir là, les flammes me parurent grandioses imprégnant l’ambiance d’un esprit spécial. Cela provoqua chez moi une émotion si intense que je pris la décision de me convertir au christianisme.

Je poursuivais seule mon cheminement chrétien en allant à l’église et après une année de préparation, j’obtins mon sacrement de confirmation, mais toujours sans la présence de ma famille. Je me souviens bien de ce jour : à l’entrée de l’église, on pouvait lire en grands caractères « Tout homme est une histoire sacrée, l’homme est l’image de Dieu ».

C’était la première fois que j’entendais parler du lien entre Dieu et les hommes et ce message m’avait fait méditer sur ce que représentait Dieu. Le chant d’entrée était « Dieu nous accueille dans sa maison… » Un bonheur immense m’envahit ce jour-là malgré l’absence de ma famille, mais je ne leur en voulais toujours pas.

Je continuais à faire parti du groupe CV-AV avec lequel je partais dans des campagnes lointaines de la ville pour une vie de prière et des retrouvailles accompagnées des religieuses. Ces sorties me procuraient beaucoup de joie et je me laissais envahir par les moments de prières et de chants qui me touchaient au plus profond de moi. Je me laissais envahir par tout ce que j’apprenais et mon cœur se consumait petit à petit. J’avais l’impression que toutes les chansons en louange au Seigneur s’adressaient à moi. Elles me procuraient une étrange sensation, emplissant mon cœur d’une grande énergie. Je l’appelle joie intérieure profonde, bonheur immense et inestimable ». Ce sentiment de plénitude, jusqu’à aujourd’hui, je l’ai toujours gardé à chaque fois que je pensais avoir fait une bonne action ou rendu service à quelqu’un.

Un jour après un simple match de football entre les gens de ma ville natale et ceux de notre résidence actuelle, la rencontre a vite dégénéré en un conflit ouvert digne d’une guerre civile. Toutes les personnes originaires de la ville où nous vivions furent frappées et pillées. Des barricades furent érigées sur les routes pour nous empêcher de fuir. Mon père étant connu de tous, les pillards s’en prirent à nous y compris à quelques élèves du collège et à nos biens. Une partie des élèves estimant beaucoup mon père ont réussi à nous avertir. Nous avons prévenu un oncle qui était douanier et qui avait des amis dans l’armée. Il prit contact avec des soldats qui sont venus nous chercher pour nous mettre en lieu sûr. Pendant la nuit, par des petites routes, l’armée avait réussi à nous ramener dans notre ville d’origine. Nous avons rejoint la maison familiale sans ni vêtement. Notre maison a été complètement dévalisée, toutes nos réserves de nourriture furent pillées. C’est ainsi que je suis partie sans même dire au revoir à mon amoureux.

je fis un  rêve dans lequel la Sainte Vierge m’apparut. Elle ne parla pas, mais je la voyais réellement, entourée des rayons de lumière aux couleurs de l’en-en-ciel. Cette image m’a elle aussi profondément marquée et je la garde précieusement en mémoire.

À la séance suivante, je lui réitérai mon désir ajoutant que j’avais mûrement réfléchi. Elle m’apporta un livre sur la vie de Saint François d’Assise et un autre de prières. À peine quelques jours plus tard, j’avais fini de lire le livre. J’étais bouleversée par la vie de cet homme et je percevais le sens réel de la foi. J’avais alors le profond désir de suivre son exemple. Je me mis à lire assidûment tout ce qui concernait sa vie et la religieuse était impressionnée de mon engagement. Toutes mes lectures avaient des effets sur moi : je m’identifiais à Saint François et comme lui je voulais aimer mon prochain dans toute sa splendeur, partager tous mes biens matériels et suivre le Christ.

J’ai commencé à avoir un autre regard sur le monde, à voir la nature avec un œil émerveillé, à m’ouvrir aux pauvres, aux démunis et à tous ceux qui souffraient et avaient besoin d’affection. 

La religieuse franciscaine m’invita alors à des réunions et séances de prières. Je participais aussi à des séances spirituelles organisées pour les jeunes filles du diocèse qui envisageaient devenir religieuses. On les appelait « les aspirantes ». Petit à petit, je partais de la maison pour plusieurs jours et je rendais visite aux franciscaines pendant les vacances scolaires. J’étais très épanouie.

Désormais je fréquentais le groupe des aspirantes, de nouvelles amies avec lesquelles nous partagions une même vision du monde. Nous allions souvent à des réunions dans la paroisse et nous étions connues des prêtres et l’évêque du diocèse. Un jour, une de ces amies, m’invita à une séance de prière qui s’appelait « Légion de Marie » que je rejoignais très vite. C’était la première fois que je faisais connaissance du rosaire et son lien avec le chapelet. À la fin de chaque séance, nous avions des missions appelées « apostolats » à faire. Il fallait rendre visite à des malades, apporter la communion à des personnes qui ne pouvaient pas se déplacer ou participer aux actions paroissiales. À chaque séance, il fallait faire un rapport des activités effectuées dans la semaine. Je trouvais cela abstrait et sans signification, mais j’aimais y participer malgré tout. Le plus dur était la prise de parole en groupe pour raconter son apostolat de la semaine. Je n’aimais pas du tout ça car j’étais très timide et très discrète. Et c’était un exercice très difficile pour moi. C’était obligatoire et je n’avais pas le choix car j’aimais participer à ces séances de prières.

Pendant les vacances de l’année où j’ai obtenu mon brevet, je devais participer à une session nationale organisée dans un sanctuaire marial appelé « Togoville », situé dans le sud du pays ! C’était la première fois que je quittais ma famille pour deux semaines. Après la session, je devais passer le reste de mes vacances dans la capitale togolaise.

Dès mon retour, j’ai demandé à mes parents si je pouvais continuer mes études à Lomé. Je voulais étudier la comptabilité et plus tard travailler dans les finances. La religieuse franciscaine me parla de l’« Institut Technique Notre Dame de l’église » dirigé par les religieuses dans la capitale qui était très renommé. À proximité vivaient des sœurs franciscaines qui pouvaient m’accueillir pour continuer ma vocation vers la vie religieuse.

…… Autres Extraits choisis de la biographie « Mon combat »

– Quand on arrive en France, il faut jeter ses diplômes dans une panière à l’aéroport et entrer dans un monde de travail subalterne et de sauve-qui-peut. Chaque entretien individuel décroché se finissait par un avis non favorable.

En Afrique, tout le monde nous faisait miroiter une meilleure vie en France, terre d’Eldorado, d’accueil et d’abondance. Mais la réalité était tout autre, non seulement je me suis confrontée à l’individualisme, mais aussi, je devais faire face à ma différence d’être noire. Le premier choc était celui des cultures. L’indifférence des gens me touchait beaucoup ; les gens se croisaient sans se dire bonjour et ne prenaient même pas le temps de se parler. Les voisins du même palier ne se disaient pas bonjour, les personnes âgées étaient livrées à elles-mêmes, les familles se déchiraient et étaient souvent dispersées.

Malgré mon diplôme en comptabilité, je ne trouvais pas de travail. La raison était simple, j’étais noire.

j’ai pu enfin obtenir un contrat d’accompagnement à temps partiel au CHU de Limoges. J’occupais un poste d’agent administratif dans un service de stomatologie et maxillo-facial. Moi qui refusais de travailler, par appréhension, dans le domaine des soins, je me suis retrouvée dans ce grand hôpital. À l’origine, je voulais réussir dans les finances pour lutter contre la pauvreté.

Dans ce CHU, je me chargeais de l’accueil et l’orientation des patients. J’étais fascinée par le dévouement du personnel soignant et en les côtoyant tous les jours, l’idée m’est venue que moi aussi je pourrai intégrer le service de soins de cet hôpital. Je voulais moi aussi faire quelque chose pour ces patients désorientés d’autant que j’avais la chance d’avoir un bon sens de l’observation. À regarder une personne, j’arrivais à deviner la souffrance qu’elle portait en elle.

C’est ainsi que j’ai pu valider tous mes modules et obtenu mon diplôme d’aide-soignante.

Lourdes, un pèlerinage révélateur

Au pied de la montagne, je sentis un vent frais m’envahir comme un vent d’espoir. J’étais persuadée qu’il allait se passer quelque chose à la grotte. Fascinée par ces boutiques de souvenirs, je voyais les statuettes de la vierge un peu partout, j’avais envie de les embrasser pour adorer la Sainte. Mon amie me disait qu’elle était contre ces boutiques, mais moi j’insistais sur la nécessité d’emporter les souvenirs dans un lieu aussi saint.

Ébahie par l’architecture que je voyais, je demandai à mon amie de me prendre en photo à des endroits que je trouvais beaux. Je voulais jouer un peu la star pour immortaliser ma venue à Lourdes, mais petit à petit, je n’en ressentais plus le besoin, je me suis rendu compte que je n’avais pas besoin de montrer à tout le monde mes souvenirs et j’ai arrêté de me faire prendre en photo. Je n’arrivais pas à croire que j’étais dans un lieu saint. Mon visage était baigné de lumière. J’ai senti une joie immense m’envahir et la première chose à faire était d’aller boire à la fontaine. Nous avions avec nous des bouteilles en plastique et nous nous servions à boire. Plus je buvais, plus j’avais soif, je me sentais bouillante avec des bouffées de chaleur en moi. Ma meilleure amie était très surprise de me voir boire ainsi. Je lui disais que c’était de l’émotion et que de toute façon l’eau de Lourdes allait me purifier et permettrait à mes reins de bien fonctionner ! Mais je ne pensais pas alors à la contrainte d’aller sans arrêt uriner. À chaque fois que je vidais ma vessie, je sentais le besoin d’en boire.

Lorsque je fermai les yeux, je sentis une sensation étrange m’envahir, quelque chose sortir de moi comme si on me faisait un massage de la tête au pied, des larmes coulaient abondamment des mes yeux, je n’arrivais plus à bouger, j’avais l’impression que j’avais le corps tout entier anesthésié. Une très forte lumière bleutée entoura mes yeux et cette sensation dura environ dix minutes et mes yeux commencèrent à s’ouvrir petit à petit et j’ai retrouvé mon état normal. Surprise par ce qui venait de m’arriver, je ne dis rien à ma meilleure amie, je me suis contentée de lui dire que j’avais eu une sensation étrange et que j’avais été transformée en statue. J’avais tellement soif que je partis à nouveau vers la fontaine expliquant de nouveau à ma meilleure amie que j’étais bouillante en moi à cause de l’émotion.

Rentrée très tard à l’hôtel, je m’endormis comme un bébé, sans angoisse ni inquiétude. J’oubliai complètement ma famille, ce que je vivais durant ce séjour était pour moi. Pour la première fois, j’avais pris un temps de recueillement pour moi seule et j’en avais vraiment besoin. Le jour de la Pentecôte, nous retournâmes à la grotte pour assister à la messe. J’emportai tous les souvenirs que j’avais achetés pour les faire bénir à la grotte. Après la messe, nous nous sommes assises sur les bancs pour réciter le chapelet.

Le lendemain, après plusieurs heures passées dans la file d’attente, j’arrivai enfin à l’intérieur de la grotte vers midi quand sonnaient les cloches de l’angélus. Je voyais les gens toucher la grotte avec les chapelets, bougies, photos, mouchoirs… etc. Je me suis mise à faire comme eux en touchant la grotte. Elle était extrêmement froide. J’ai pu enfin voir la fontaine vitrée. À la sortie, sous la grotte, il y avait des gouttes d’eau qui tombaient et les gens mettaient leurs souvenirs en dessous. Je fis de même avec le chapelet qu’on m’avait offert et je reçus une goutte sur mon chapelet.

Nous avons quitté Lourdes et avons pris la route du retour. Une grande tristesse s’empara de moi, j’avais commencé à penser à ma famille et à mes enfants. Mais dans le même temps, j’étais soulagée et me sentais légère car je savais que quelque chose était sorti de moi, pensant que mes souffrances allaient enfin s’arrêter.

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