Biographie circassienne

Le cercle de paillettes et de sciure – Biographie –

Biographie circassienne

Quatrième de couverture

Anne Hugon et Guérino Simonelli, nous offrent à travers ce récit une entrée sous le chapiteau de leur vie. Elle fut riche d’émotions, et d’expériences extraordinaires, dans de nombreux cirques de France et d’ailleurs, avant de poursuivre leur passion à l’ombre du chapiteau de l’association « Le Nez dans les étoiles ».

Car Anne et Guérino ne se sont pas contentés d’être des artistes accomplis, ils ont su passer le relais afin que l’art circassien vive et perdure.

Le témoignage précieux de leur itinérance montre combien il fallait être passionné pour se lancer dans l’aventure pour quelqu’un né hors du cirque et comme il fallait être endurant pour passer les barrières administratives pour réussir à fonder une école.

 Ce premier livre sera peut-être suivi d’un récit sur les rencontres et les anecdotes du monde circassien, c’est l’inspiration que nous souhaitons à Anne et Guérino afin de pouvoir davantage encore lire leurs aventures.

Extraits de la biographie

Préambule à la biographie

Faire le récit de sa vie, cela commence par une vague idée de vouloir laisser quelque chose derrière soi.Chacun y pense un jour, certains concrétisent le projet quand d’autres laissent passer l’occasion et n’y reviennent plus.

Ce sont alors nos enfants qui reprennent le projet, ceux qui ne connaissent pas la vie de leurs parents, trop peu… et qui voudraient en savoir davantage. D’autres qui ont le désir de transmettre l’histoire à leurs enfants quand ils deviennent parents à leur tour.

Pour la fille de Anne et Guérino, bientôt maman, c’était une évidence de ne pas laisser tomber dans l’oubli l’histoire de ses parents, dont la vie fut riche d’émotions, d’expériences extraordinaires. Elle les a suivis sous les chapiteaux de France et d’ailleurs avant de grandir à l’ombre de celui de l’association « Le Nez dans les étoiles ».

Un acrobate en herbe

J’étais arpette et payé une misère, à 0,20 centime de l’heure, des anciens francs bien sûr, mais cela me plaisait. Je commençais à 7 h 30 le matin, finissais à midi pour reprendre à 13 h 30 jusqu’à 18 h. Je participais au montage des charpentes métalliques et j’adorais ça. Grimper sur les toits, être dehors, travailler en force, c’était tout ce que j’appréciais. Comme je grimpais partout, on m’avait acheté une BD de Tarzan. Je l’ai prêté à un copain qui ne me l’a jamais rendu.Je me déplaçais en vélo et je rentrais manger le midi chez moi. Je ne sortais pas pour aller danser ou chanter, je n’aimais pas ça. Moi, c’était le sport qui me passionnait et de 16 ans à 20 ans j’ai fait du football. Je filais à l’entraînement le soir après le boulot et je jouais en équipe première.

Guérino, âgé alors d’une quinzaine d’années, s’était lié d’amitié avec Yves. Lors d’une sortie au bord du Cher, ce nouvel ami lui avait fait un équilibre sur les mains. Guérino en fut épaté et voulut apprendre à son tour. Yves lui expliqua qu’il faisait cette figure en cours de sports et l’invita à pratiquer au gymnase municipal de Bourges.

Dès le début de notre duo, j’étais déjà le porteur car je ne savais pas encore faire l’équilibre. D’ailleurs Yves m’appelait «patte d’ours» à cause de la taille de mes mains. Pendant quelques mois on s’est entraîné avec lui à la gymnastique acrobatique mais comme on n’avait pas de matériel on se fabriquait des haltères avec des casseroles pleines de ciment et de ferraille!Je rejoignais Bourges, distante d’une quinzaine de kilomètres, d’abord en vélo puis plus tard en mobylette.

Plus tard, le duo obtint l’autorisation de s’entraîner gracieusement dans la salle associative de « la prolétarienne » grâce à M.Petit, artiste amateur de « main à main ».

C’est à cette période que le duo devint trio avec l’arrivée dans le groupe de Daniel Mercier. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les combinaisons plus variées sont plus faciles à trois qu’à deux.

En effet, à 2 l’enchaînement des mouvements doit être permanent entre le porteur et l’équilibriste tandis qu’à 3, ils peuvent se relayer et la tension peut se relâcher. Esthétiquement, c’est très beau. – Après quelques mois, on avance l’hypothèse d’en faire notre métier en commençant par de petites présentations lors de galas et de kermesses. En 1961, notre trio passe le concours au cirque Napoléon Rancy à Tours, réservé aux amateurs de toutes disciplines. Le public et le jury étaient composés d’artistes de cirque. Nous arrivons à la 4e place, ce qui fut une belle performance.

Le choix du métier d’artiste de main à main

Les Danelys

Plus tard encore, ils sont à Paris pour passer une audition auprès du directeur du cirque Sabine Rancy — fille de pierre Henry Rancy, célèbre écuyer —La rencontre se fait dans une guinguette à Joinville-le-Pont, au bord de la Marne.

Habituellement on travaillait en slip mais à Joinville il faisait très froid et on présente notre numéro avec des collants. Malgré tout, cela plaît au directeur et il nous engage sur la prochaine tournée qui doit débuter à Louviers le 27 mars 1965. Les Danelys était lancé… Notre contrat nous engage jusqu’au mois d’octobre.

Quand je rentre de l’audition, je me présente directement chez M. Louis, mon employeur pour lui annoncer que j’arrête de travailler chez lui. Il était également président du foot, il savait donc déjà que je faisais du main à main.

                  – Qu’est ce que tu vas faire s’exclama-t-il?

                  – Je pars faire une tournée avec un cirque pour présenter mon numéro de mains à mains expliquai-je

                  – Je ne peux pas t’en empêcher mon gars me répondit-il.

À ce moment-là, M. Louis a fortement pensé que cela me passerait et que je reviendrais après quelques mois. Puis il a fallu que j’annonce mon départ à ma mère.

T’es fou… c’est pas un métier pour toi. C’est un milieu de saltimbanques.

Elle n’était pas seule à penser cela, le jugement autour de moi était unanime!

Le cirque Rancy avait une belle notoriété, et de très bons numéros y étaient présentés : il y avait les trapézistes « Les Clerance », le jongleur Helekis, Kerviche aux fouets et lasso, les Rancy avec leurs chevaux et le dompteur de lions, d’ours et de chèvres Pierre Thomas. Il y avait aussi les clowns Zino et Footitt qui était le petit fils de Geo Footitt rendu célèbre dans le film « Chocolat ». Ce dernier assurait également la fonction de chef du matériel puis responsable du convoi routier chez Rancy.

Comme tous les artistes, Guérino et Daniel conduisaient chacun un camion car le rythme de la tournée, c’était un jour, une ville. La 4CV fut alors remisée.

La tournée s’est terminée en octobre 1965. Le duo continua à programmer des spectacles pour les galas et se produisit dans le spectacle du cirque fixe de Rouen pendant la période de Noël.Daniel et Guérino avaient réussi à se faire connaître et apprécier : ils étaient lancés.De 1966 à 1969, Les Danelys enchaînent les tournées : chez André Gruss entre la France et la Suisse, chez Bouglione en France, chez Amar et de nouveau chez Bouglione.

Guérino apprend un jour que « les Victorias », Jackie et Pierre Vaudin, un couple de mains à mains recherchent un partenaire. C’est le début d’une longue aventure de vingt années avec les Victorias qui commença en 1970.

Les victorias

Le choix d’une partenaire de scène

Jackie décide de stopper sa carrière pour s’occuper de sa mère. Pierre qui est le chef de la troupe se met en quête de trouver une nouvelle partenaire. Il auditionne une jeune femme : Anne.          – Vous êtes trop grande et vous ne faites pas le grand écart ça n’ira pas dira Pierre approuvé par les autres membres des Victorias.

Et pourtant après un essai avec une autre partenaire Anne sera engagée, au pied levé.

Elle avait déjà une bonne expérience du cirque.

Anne avait été inscrite à l’école d’Alexis Gruss et en juin, elle avait été sélectionnée pour participer au spectacle de fin d’année avec un numéro de boules, monté à la gaité lyrique. Ce théâtre prestigieux accueille en 1974, le carré Silvia Montfort et l’école de cirque Grüss, une des deux premières écoles de cirque de France avec celle d’Annie Fratellini, ainsi que l’école de mime.

Mayana pointe à pointe

C’est ainsi qu’Anne fut intégrée au spectacle de Sylvia Montfort et d’Alexis Grüss. Après une année, le changement de programme a fait évoluer son numéro qui devint vélo et monocycle.Puis Anne, qui désormais travaille sous le nom de Mayana, se lance dans un numéro de « pointe à pointe ». Elle quitte le cirque Grüss pour trouver de petits contrats en proposant ses numéros intégrés à des spectacles. À l’occasion d’un contrat dans un petit cirque, où elle fait sa prestation dans un costume oriental, on lui propose de présenter un numéro avec des serpents. Pourquoi pas ? Ça ne la dérange pas et il lui faut bien gagner sa vie…Une nouvelle rencontre va lui ouvrir d’autres horizons.

Le groupe des Victorias était connu et constitué depuis longtemps. C’était pour moi un challenge et je l’ai relevé. J’ai bossé très dur pour me mettre au niveau et j’ai réussi.Je n’avais qu’une semaine de répétitions avant le premier spectacle. Le jour de la première, je nettoyais à grande eau mon camion pour évacuer l’angoisse ! J’ai mis du temps à avoir confiance en moi et le trac m’envahissait avant de partir sous les feux de la rampe.

Pour nous c’était une aubaine de partager la même passion et de pouvoir en vivre…Voilà comment cette fabuleuse aventure amoureuse a commencé.

Les Victorias

Une vie autour de 13 m de diamètre

Quitter le cercle est une sorte de rituel, de mémoire. Les gens du voyage se repèrent davantage grâce aux lieux plutôt qu’aux dates. D’ailleurs Alexis Grüss a dit :

          « Le cirque est le nom d’un lieu et non d’un spectacle, c’est la piste de 13 mètres de diamètre. »

À partir du moment où on s’installe, on s’habitue à son environnement et on s’approprie le territoire Cela devient notre chez nous. Même les enfants se construisaient de petites cabanes dans de minuscules espaces. Ils avaient intégré cette notion d’espace restreint.

Je me souviens que l’hiver, les enfants jouaient dans les caravanes sans avoir conscience de n’avoir que peu de place.À contrario, ils avaient des espaces de liberté que peu d’enfants connaissent. J’ai le souvenir de ce jour de neige où ils s’étaient fabriqués des luges de fortune avec des sacs de plastique quand un homme leur a donné un enjoliveur…beaucoup plus solide et glissant !

Les enfants connaissaient aussi leurs limites et savaient qu’il était formellement interdit de toucher aux costumes et au matériel des artistes. Ils avaient conscience de l’importance de ces choses dans la vie de leurs parents et des enjeux pour le cirque.

À Hambourg pendant notre tournée en Allemagne, un des artistes avait planté un carré de gazon devant sa caravane. On était resté deux mois et quand il était repassé plus tard, il y avait toujours le gazon qui ressortait sur cette place de mâchefer noire.

Il faut savoir qu’un cirque moyen fait vivre environ 80 personnes. Car au-delà des artistes, de nombreux autres métiers vivent à travers le cirque : électricien, mécanicien, monteur, cuisinier, instituteur, musicien, soigneurs, garçons de cage, garçon d’écurie… et l’avant-courrier. C’est celui qui en amont organise et programme toute la tournée. Il cherche les villes, s’occupe de l’affichage et de toute la maintenance technique et quotidienne : accès à l’eau, à la lumière, terre et sciure pour la piste, approvisionnement en paille et foin pour les animaux. Bien sûr dans les cirques moyens, le personnel est polyvalent.

On parle beaucoup de la famille du cirque comme si chacun était un membre d’une famille élargie. Mais cela reste une idée fausse sans réalité.Même si chacun vit autour et par le cirque, la vie de famille reste individuelle.

Aventure américaine contre bonheur norvégien

Le cirque américain Vargas nous engage pour deux saisons en 1982 et 1983 après avoir rempli les conditions d’engagement, à savoir que notre type de numéro était peu courant aux states. C’était un très grand cirque avec une flopée d’artistes remarquables. Son immense chapiteau est monté et démonté quelles que soient les conditions météorologiques ! Et aux États-Unis, la météo est souvent exceptionnelle ! Il nous est arrivé de rejoindre la piste avec de l’eau jusqu’aux genoux… et on avait malgré tout de la chance, car notre podium était surélevé !

On a fait principalement le sud du pays, en remontant par l’ouest : Californie, Oregon, état de Washington, puis traversée vers l’est jusqu’à Chicago, puis vers le Sud jusqu’à la Louisiane le long du Mississipi, enfin retour vers l’ouest par le Texas, l’Arizona et de nouveau la Californie.

Il y avait des tornades démesurées… Tous les artistes avaient répété le démontage du chapiteau pour être opérationnels en un temps record. En cas de tornades, on nous alertait avec des coups de sifflet.À Chicago, le temps était lourd et humide, avec des tornades régulières. Le responsable du chapiteau était en relation nuit et jour avec la météo de l’aéroport. Moi j’étais avec les femmes, préposée au pliage des chaises tandis que Guérino avec les hommes tirait la toile au sol et devait ramper pour s’en dégager ! Je me souviens dit Anne, qu’un jour il a fallu le démonter deux fois de suite !

Dans notre contrat, nous devions assurer 16 spectacles par semaine et cela sans aucune assurance alors qu’en France nous étions déclarés la plupart du temps. Mais cela est loin d’être le cas dans les autres pays d’Europe.

Quand nous sommes arrivés à Chicago, le cirque était près de la faillite. Notre agent nous trouva alors un autre contrat dans un hôtel Hilton à Palm Spring pendant 5 mois. Nous étions logés et nourris dans l’hôtel et devions assurer un spectacle le soir… C’étaient des vacances !On a fini notre contrat, vendu notre convoi de luxe et on est rentré en France.

Loin de nous reposer sur nos lauriers, nous sommes repartis avec le cirque Merano pour la Norvège.Pour moi ce fut la plus belle des tournées : l’ambiance, le rythme, les méthodes et l’organisation de travail, un très beau spectacle. Des paysages fabuleux, les traversées des fjords pour se produire d’île en île. J’en garde un souvenir merveilleux. Il y avait une grande liberté. On n’était pas obligés de suivre le cirque à partir du moment où on se présentait à l’heure et en forme pour le spectacle. Entre les artistes les relations étaient bonnes et cela se ressentait sur la piste.

La poésie du cirque

La vie des circassiens, empreinte de bohème, voit des personnages extraordinaires remplir l’existence d’une poésie toute particulière.

Les cirques aujourd’hui sont plus créatifs et plus artistiques. Les nouvelles technologies ont permis cette évolution. Mais la réalité poétique du cirque s’est toujours inscrite dans des imaginaires vécus par les artistes.

Les Crystals

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