biographie valerie jean

Petit écoute la nature

 « Petit écoute la nature » une biographie de Yannick et Jean

biographie valerie jean

Résumé du livre « petit écoute la nature »co-écrit par Valérie Jean, Yannick et Jean

Une biographie réalisée à quatre mains pour rendre hommage à une mère disparue trop vite, trop tôt. Le récit balaye son enfance au travers les anecdotes de son père, employé à l’office des eaux et forêts en Algérie, son adolescence grâce aux témoignages de ses amies d’études et son engagement auprès de son fils que raconte ce dernier.

Extraits du livre  « Petit écoute la nature »

Préambule

Quand ma mère est partie brutalement, j’ai été anéanti de perdre celle qui était plus qu’une mère, mon amie. Celle avec qui j’avais tissé des liens d’une indéfectible force et avec qui j’avais encore tellement de choses à partager.

Aujourd’hui, grâce à ce livre, je veux lui rendre hommage et retracer ce que fut sa vie, en m’appuyant sur mes souvenirs, sur le récit de vie de mes grands-parents et des témoignages des amis qu’elle avait si nombreux.

Cette biographie est donc un peu spéciale, incomplète, élaborée selon nos interprétations et les traces que ma mère a laissées dans notre mémoire, en espérant qu’elle nous pardonne d’investir sa vie.

J’ai choisi d’y inclure une grande partie de la vie de mon grand-père, témoignage de l’enfance de ma mère qu’elle aurait restitué, si elle avait eu le temps de faire elle même sa biographie.

Mon intention en réalisant ce livre est de lui témoigner mon amour, et de rendre vivante son histoire qui fut sous bien des points exemplaires.

Jeanine, ma mère, nous a quittés, emportée par un cancer foudroyant en septembre 2015, elle n’avait que 64 ans.

Oms, berceau de la famille

François C, l’arrière-grand-père de Jeanine est né dans les années 1850, à Oms, un petit village des Pyrénées-Orientales, niché sur les contreforts du Mont Canigou, où s’édifia la Seigneurie des Oms (Ulmis en catalan).

Le village se niche au coeur de la région des Aspres – nom qui vient du mot catalan aride – terre sèche et aride où il est difficile de cultiver. De belles forêts denses recouvrent les vallées entrecoupées de petits villages disséminés et isolés. Le pays est riche de ses chênes lièges et Oms a été pendant longtemps un village « bouchonnier », spécialisé dans la fabrication des bouchons de liège.

Les mines de fer ont également attiré beaucoup de nouveaux venus dans les Aspres, région qui a vécue de cette manne jusqu’au début du XXè siècle. Puis la page s’est tournée et les villages sont retournés à leur isolement, rompu par les fêtes traditionnelles nombreuses dans ces vallées.

Au moment de la naissance de Jean C, le père de ma mère et de Marthe sa mère, le village comptait encore 325 âmes, chiffre qui tombera de moitié quarante ans plus tard.

Jean, mon grand-père a grandi dans ce petit village. Son père avait racheté une ruine qui appartenait à la famille, pour en faire une ferme viticole. Celle-ci vivait de productions vivrières, des céréales, de l’élevage de volailles, d’un jardin potager en plus de la culture de la vigne. Comme tous les enfants de la campagne, il vivait au grand-air.

Un jour que je lui demandai de me parler de son éducation et des règles de la maison, il me raconta une anecdote.

Un jour, je me lève, prends mon café accompagné d’un quignon de pain et après avoir fait mes devoirs, je m’en vais sur la route où je rencontre des copains.

–  » Si on allait voir Guigui proposai-je aux autres. »

– « D’accord me répondirent-ils. »

Et nous voilà partis. En chemin, on traverse une forêt de châtaigniers. Voulant me fabriquer un bâton de marche, je commence à taillader une branche d’un des arbres. Manque de chance, le propriétaire du terrain passe et me voit faire ! Il se rue sur moi et m’admoneste vertement.

« Mais qu’est-ce-que tu fais chenapan ? Tu es en train de massacrer un de arbres qui donne le plus de châtaignes ? Ah tu vas voir… » Et sans plus de discours il part.

Je ne donne alors pas plus d’importance à l’incident et nous rentrons tranquillement au village. C’était sans compter la colère du propriétaire du champ qui m’avait devancé chez mes parents.

Là je l’ai senti passer ! Ma mère m’a ordonné d’aller me coucher alors qu’on était qu’en fin de matinée. Quand mon père est rentré, il a demandé où j’étais et ma mère lui a donné l’explication de ma punition, lui montrant les branches de châtaigniers que j’avais coupées et que le propriétaire avait ramenées à la maison.

Je suis resté sans manger dans ma chambre jusqu’au goûter… mon estomac criait famine avec seulement mon quignon de pain avalé le matin tôt… Le goûter fut bienvenu et cela me servit de leçon.

Ma mère avait la main leste et mon père, plus conciliant, n’hésitait pas à être sévère quand c’était justifié. Chez Marthe, ta grand-mère, c’était plus calme ! Quand cela lui arrivait de faire une bêtise, sa mère lui disait juste : « Oh vilaine… ! »

Plus tard, quand j’étais au cours élémentaire, je fus puni à l’école pour une faute que je n’avais pas commise. Je suis rentré à la maison et j’ai dit à mes parents :

– « Je ne veux plus aller à l’école ! »

Sans en savoir plus, mon père a répondu :

-« Et bien tu vas travailler avec moi ! »

Et je suis resté à travailler à la ferme. J’ai donc arrêté l’école sans passer mon certificat d’étude et par la suite je l’ai regretté…

Jeunesse en Guerre

Né en 1922, Jean a dix-sept ans quand la guerre est déclarée. Très vite l’armée allemande prend le dessus et c’est la déroute pour l’armée française. Nombre de soldats sont faits prisonniers et la France se soumet à l’occupant allemand.

À partir de 1942, pour les hommes restés en France c’est le départ en STO – service travail obligatoire – organisation mise en place par l’Allemagne avec la complicité du gouvernement de Vichy pour participer à l’effort de guerre.

À 20 ans, Jean part sur les chantiers de construction et de réparation des chemins de fer en Allemagne. En effet, les américains bombardaient régulièrement les infrastructures allemandes qu’il fallait remettre en état dans un temps très court. Le rythme était sévère.

Les travailleurs sont maltraités et subissent un régime alimentaire digne des jockeys !

Mon grand-père, avec une grande émotion, se rappelle ces souvenirs de guerre :

Lever à 6h30, 100 gr de pain le matin agrémenté d’un ersatz de beurre, quelques pommes de terre baignées d’une sauce insipide le midi…

Le 1er avril 1945 à 11H30, les soldats qui nous encadraient, nous font ranger les outils et nous renvoient vers le camp. Quand nous y pénétrâmes, il n’y avait plus personne !

Certains des prisonniers en profitèrent pour filer de suite mais avec deux autres camarades, nous avons préféré attendre le lendemain pour partir. Nous ne connaissions rien de la situation.

Les dortoirs étaient aménagés de lits superposés sur plusieurs niveaux et je choisis de me coucher dans celui du bas. Bien m’en pris car dans la nuit, des avions, volant en rase motte, ont mitraillé lors des derniers combats aériens, provoquant des dégâts dans le camp. Protégés par les lits du haut, j’ai eu de la chance et je m’en suis sorti indemne.

Dès le matin, nous sommes partis dans la campagne et après quelques heures, nous sommes arrivés dans un village abandonné. Un prisonnier français s’était réfugié dans une des maisons et nous invita à manger, nous expliquant que les soldats russes avançaient.

Le lendemain dans la rue du village, nous tombons sur une patrouille de SS – la Schutzstaffel, une des principales organisations du régime nazi qui sans ménagement nous plaque contre le mur.

J’ai cru que ma dernière heure était arrivée mais miraculeusement, un désordre s’installa dans leur rang et ils se mirent à fuir sans plus se préoccuper de nous ! Décidément ma bonne étoile veillait.

Sans chercher plus longtemps à comprendre, nous sommes partis et quelques temps plus tard, nous avons rejoint sur la route une longue colonne de soldats, composée d’hommes de toutes nationalités : russes, français, polonais, belges… Sur notre chemin, il y avait beaucoup de fermes abandonnées dans lesquelles on trouvait à manger…

Une fois avec mon copain qui était chtimi, on décida de trouver un cochon car la viande nous manquait terriblement. Nous voilà partis pour en trouver. On dégota un mouton que l’on emporta mais mon camarade voulait absolument du cochon ! On a donc continué nos recherches jusqu’à temps de trouver dans une ferme une belle truie avec ses petits ! Les bêtes se sont mises à couiner bruyamment mais on a fini par attraper un porcelet, le ligotant par les pattes, puis on l’a préparé : un de mes meilleurs repas après une disette de deux années.

Notre pérégrination a duré du 7 avril au 4 mai. On savait que des combats étaient proches car on entendait le bruit des canons.

Puis un matin, alors que j’étais encore somnolent, abrité dans la paille d’une grange, j’ai été réveillé par le vacarme d’un char.

Levant le nez, j’ai vu un char américain arriver dans la cour de la ferme. Ils nous ont distribué des vivres qui étaient les bienvenues après tant de jours de carence : pain, beurre, café et rations militaires de corned-beef.

Nous étions alors à la frontière entre l’Allemagne et la Tchécoslovaquie. Les américains nous ramenèrent en Allemagne par convois jusqu’à Salzbourg où nous fûmes pris en charge par les services sanitaires.

Là, on a pu envoyer des messages à nos familles pour les rassurer sur notre situation. Inutile de vous dire que de vivre cela vous forge le caractère…

Le 5 juin 1945, je suis rentré chez moi à Oms.

Le travail ne manquait pas mais, rentré d’Allemagne avec 20 kg en moins, j’étais faible et peu productif. Je mettais pourtant du cœur à l’ouvrage mais ne m’entendant pas avec mon frère, j’ai décidé de partir après avoir été reçu au concours des eaux et forêts. Il y avait une visite médicale obligatoire. Le docteur. A ne m’a rien trouvé sinon une faiblesse temporaire dont il pensait que je me remettrais. Je fus donc incorporé. Il n’y avait plus de poste disponible en métropole, on me proposa l’Algérie et j’ai accepté.

Je suis parti le 31 décembre 1947 à bord du bateau « Général Lépine. »

Célibataire, j’avais acheté quelques ustensiles de cuisine pour me faire à manger à l’aide du four marseillais… L’Algérie à cette époque c’était la débrouille !

J’habitais dans la maison forestière de Menasfa, située dans la montagne à 500 mères d’altitude, dans la province d’Oran. Il n’y avait ni eau courante, ni électricité et le premier village était à une quinzaine de kilomètres. Nous étions très isolés, nos voisins, les plus proches, des espagnols, des voisins vivaient à 2 km de la maison forestière.

Un an après, quand je suis rentré pour mes congés annuels, j’ai fait ma demande, qui faisait office de fiançailles, à Marthe qui a dit « oui » sans condition et sans savoir où elle allait vivre, elle a simplement accepté.

Peu de temps après, nous sommes repartis ensemble en Algérie.

La maison était très isolée et ta grand-mère passait seule, toutes ses journées, c’était très dur pour elle. Certains jours, je partais en mission très tôt le matin, ne revenant que dans la nuit.

Le samedi, on descendait au marché à cheval car nous n’avions pas encore d’automobile. J’avais deux chevaux : l’un était jeune et vigoureux et l’autre était plus vieux mais n’avait pas un pas régulier. C’était un dilemme de lui choisir le meilleur cheval ! Celui qui était plus fougueux mais qui assurait de la stabilité ou le plus calme mais qui pouvait faire des faux pas !!!

Je réglais les étriers de Marthe et nous partions vers la vallée.

Départ en Algérie pour le bébé Jeanne

Une nouvelle mutation obligea la famille à partir à la fin de l’année 1952 à Géryville. Jeanine avait alors dix-huit mois. Jean, gratifié d’une promotion était en charge de la gestion et du contrôle de la nappe phréatique de la région, garante de la bonne production de l’Alfa. Malheureusement, bien que l’on fut alors en territoire français, c’étaient des entreprises contrôlées par les anglais qui l’exportaient vers l’Angleterre. Aujourd’hui, l’Algérie est en voie de se réapproprier la production avec l’ouverture de plusieurs sites de production.

Cette plante graminée miraculeuse donne un papier de très grande qualité mais il faut qu’elle soit arrachée avec méthode. À l’époque, les ouvriers la récoltaient avec un bâtonnet qu’ils enroulaient autour de la tige afin qu’elle soit arrachée sans être coupée, seule condition pour que la plante ne meure pas.

Jean avait en charge un énorme territoire qui l’obligeait parfois à faire des tournées de 500 kms. Il était donc souvent absent.

Geryville était une ville agréable, située en altitude où il faisait bon vivre. Mais dès l’année suivante, en décembre 1953, une nouvelle mutation tomba et toute la famille partit s’installer à Marbot, un village perché dans les hautes plaines à quelques 170 kms d’Alger, près de Thienet el Haad.

valeriejean biographe

Jean était cette fois en charge de cinq agents dont il organisait les missions, tout en partant lui-même quelquefois plusieurs jours sur le terrain.

Il bénéficiait d’un guide lui indiquant les chemins, repérant les bornes dans la forêt et qui faisait l’interprète, car peu d’habitants du bled parlaient le français. Jean ne maîtrisait pas suffisamment l’arabe pour se faire comprendre. Il eut quelquefois à démêler des situations avec les autochtones qui ne suivaient pas toujours les règles…

Jean garda ce poste de 1954 à 1959. Son travail se partageait entre ses missions à l’extérieur et le travail administratif qu’il faisait principalement tôt le matin dès 4 h.

Mais les jours faciles s’estompaient peu à peu avec les prémisses de la guerre d’Algérie qui se manifestaient de plus en plus.

À ce moment-là, on ignorait tout des incidents qui s’étaient déclenchés dans les Aurès.

Alors qu’on se promenait dans les rues de Theniet El Haad, le jour de la Toussaint, les gendarmes nous interpellent pour nous informer des évènements et nous conseillent de venir dormir à la caserne. Nous voilà donc partis rejoindre les autres familles françaises, regroupées dans une des salles de la caserne pour passer la nuit…

J’entendais les femmes de gendarmes commenter les incidents, rajoutant à leurs propos un peu plus que la réalité ! Excédé par ses bavardages, je sors dehors pour faire une reconnaissance de terrain : tout était calme. Donc dès le lendemain, je décide de rentrer dormir chez nous !

La maison forestière était fortifiée avec un mirador et des barbelés mais cela ne l’a pas empêchée, d’être attaquée. Ce jour-là, Abdelkader, l’employé qui se chargeait de menus travaux à la maison forestière, a fait prévenir la gendarmerie. Pour cette action de protection envers notre famille, il a été récompensé de manière horrible. Il a été retrouvé mort : soit assassiné par les fellaghas, soit victime des combats ayant eu lieu pendant l’attaque. On ne saura jamais la vérité. Après ce drame, il nous fallut toujours rester vigilant ce qui était épuisant psychologiquement.

L’insécurité ambiante me décida à renvoyer la famille en France d’autant que Jeanine, qui avait alors 5 ans, devait être scolarisée.

 

À la fin de l’année 1959, je reçus ma nouvelle affectation. C’était à Ténès, une ville côtière entre Alger et Oran.

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La maison, une ancienne gare, était scindée en deux appartements dont celui que nous occupions au premier étage, y accédant par un escalier intérieur. Nous bénéficions de trois chambres, d’un séjour et d’une cuisine. Nous n’avions qu’à traverser la route pour être sur la plage.

Malheureusement, à partir de 1958, les évènements d’Algérie s’étaient précipités, faisant de Ténès, une zone dangereuse. Nous n’avons donc pas profité de ce petit paradis comme nous l’aurions voulu.

Le 1er janvier 1960, Marthe et les enfants me rejoignirent là-bas avec notre chien. Zakar n’était pas du tout éduqué ! J’entamais donc son éducation, ce qui fut facile car c’était un chien exceptionnellement intelligent.

Il m’a empêché de marcher sur une mine, me retenant avec force par le bas de mon pantalon. J’ai stoppé tandis que le postier qui m’accompagnait poursuivi son chemin. J’ai entendu « aïe ma jambe ». La mine avait sauté et le postier fut blessé.

Retour en métropole

Au début de l’année 1962, Jean obtint sa nouvelle affectation à Carcassonne, laissant derrière lui les terribles évènements d’Algérie. La situation en France était catastrophique pour les rapatriés d’Algérie qui arrivaient en masse dans la métropole. Il n’y avait pas assez de logements pour les installer, ce qui conduisit à une crise immobilière dans toute la région du Sud.

La famille se réinstalla donc à Brouilla mais Jean fut une nouvelle fois affecté dans une autre ville : Besançonavant d’être de nouveau réaffecté à Perpignan muté au service reboisement du littoral, près de Le Barcarès. Après cette mission, il intégra définitivement le service de restauration des terrains de montagne.

La famille fut de nouveau réunie et s’installa à Perpignan.

Fin des extraits choisis

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